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« Au secours, mon python royal ne veut pas manger » – Les habitudes gênantes d'un animal de compagnie populaire – Partie 2

Veuillez consulter la Partie I de cet article pour en savoir plus sur les théories qui pourraient expliquer l'habitude (ennuyeuse !) de cette espèce de jeûner pendant de longues périodes.

Techniques d'alimentation

Si votre serpent fait une « grève de la faim », essayez de laisser une souris ou un petit rat (mort) dans le terrarium pendant la nuit, en le cachant dans une grotte (« trouver » la nourriture semble stimuler certains serpents) ou en le déplaçant avec un long avec des pinces à manche.
D'autres techniques incluent le « parfumage » - frotter une souris avec un aliment préféré conservé à cet effet - et offrir des ratons. Certaines personnes conseillent de couper le crâne d'une proie (morte !) Afin de stimuler le serpent avec une odeur supplémentaire, mais je n'ai pas trouvé cela nécessaire en ce qui concerne les pythons royaux.

Nourriture vivante

La nourriture vivante doit être évitée, car le serpent sera blessé avec le temps... c'est presque inévitable avec toute nourriture autre que les auriculaires vivants ou les ratons.

De plus, aussi étrange que cela puisse paraître, la nourriture vivante présentée dans les limites d'une cage peut être intimidante - j'ai même observé un anaconda vert captif de 16 pieds de long s'enrouler pour tenter d'éviter un canard vivant ! Cela stresse le serpent et l'empêche de se nourrir pendant une période encore plus longue.

Produits alimentaires nouveaux

Les gerbilles sont de grands favoris, tout comme les souris zèbres (qui sont la proie naturelle du python royal dans certains habitats). Cependant, si le serpent mange de tels animaux, il peut alors refuser tous les autres. Il est donc préférable de rester avec des animaux de boucherie faciles à obtenir… J'ai autrefois soigné un anaconda vert qui ne prenait que des rats musqués, et un autre qui consommait des rats surmulots capturés dans la nature mais pas élevés en laboratoire - une vraie douleur (et très décourageant , car les rats musqués font partie de mes rongeurs indigènes préférés - j'en ai même élevé quelques-uns, mais c'est une autre histoire !).